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ETATS UNIS - MEXIQUE 2013


Notre croisière dans les Caraïbes (2013)

Notre croisière aux Caraïbes

Notre but, en allant à Miami était de participer à une croisière organisée par le GIN (Global Information Network).  Il s’agit d’une organisation américaine dont le but est d’aider ses membres à vivre leurs rêves.  Les réunions du GIN sont essentiellement basées sur la formation personnelle et sur la manière d’appliquer la Loi de l’Attraction : « Vous devenez ce à quoi vous pensez ».

 

Dans ce cadre, nous avons embarqué à Miami, à bord du mv Norwegian Pearl, de la Société Norwegian Cruise Lines (NCL).

C’est un paquebot moderne, 11 ponts accessibles aux passagers, 394m de long, 34m de large, 8m20 de tirant d’eau, vitesse 23 nœuds, 2384 passagers et 1101 membres d’équipage.  Il y a aussi une piscine, un casino, des magasins hors taxe, bref, tout ce qu’il faut pour ceux qui veulent dépenser leur argent, sans oublier un grand amphithéâtre et un certain nombre de salle de conférences.  C’est un bateau très stable, même par relativement gros temps.  Nous avons surtout senti un tout petit roulis à certains moments, surtout au retour : il y avait à ce moment ce que les marins appellent une « petite brise » (vent 3 à 4 Beaufort), avec un début de crêtes blanches sur les vagues.

A l’arrivée au port, nous déposons nos grosses valises sur un chariot, qui va les porter à bord.  Comme dans les aéroports, il y a des contrôles rayons-X à l’entrée.

Puis, c’est notre inscription au desk d’entrée, où nous recevons notre carte magnétique qui nous sert de sésame, de carte visa à bord et de clé de cabine.  Avant de monter à bord, on nous pulvérise un désinfectant sur les mains : la phobie des « germs », typiquement américaine.  On nous demande même si nous n’avons pas de maladies contagieuses, pas mal à la gorge ou au ventre.  On nous offre même une consultation médicale si c’est nécessaire.

Nous une cabine sur le pont inférieur, très exiguë mais très bien agencée : il y a des placards partout.  Nous y retrouvons nos bagages.

Notre premier repas de midi est un immense buffet froid et chaud, très varié et très bon.  Nous somme revenus au même restaurant durant toute la croisière, même s’il y avait 14 bars et restaurants à bord !  A noter qu’en entrant dans la salle à manger, on nous pulvérisait encore un désinfectant sur les mains.

En ce qui nous concerne, nous n’avons guère profité des avantages proposés sur le bateau : nous avons eu deux journées complètes très studieuses, des conférences très intéressantes, sur différents sujets de développement personnel.

Nous avons entendu parler, entre autres, du bienfait  du trampoline, de la manière de s’adresser à des tiers, de la réduction de son âge biologique, et de l’invitation à transformer son stress en joie et en succès.

La seconde journée on nous a parlé de la manière de résorber nos stress et de soigner notre corps dans son ensemble, de prendre le contrôle de notre vie, de dominer  les problèmes causés par la culpabilité.  Il y avait aussi une conférence sur l’amour pour soi-même et pour les autres.  La dernière conférence était donnée par un conférencier de 82 ans plein d’entrain : je n’avais jamais vu ça !  Elle avait pour titre « Pourquoi je fais ce que je fais ? » : le conférencier nous y a développé les 13 personnalités humaines.

Entre ces deux jour, un arrêt à Cozumel, avec excursion sur le site inca de Tulum (voir l’article à ce sujet).

Le matin du 4ième jour, nous étions à quai à Miami.  Dans la pénombre du jour naissant, nous voyons passer des silhouettes qui courent : ce sont les participants au marathon de Miami, sponsorisé par la banque ING.  Ils ont passé pendant près de ¾ d’heure.  La sortie du navire est assez longue : 3 heures d’attente pour évacuer quelques 2000 passagers, surtout quand il y a trop peu de taxis.

Un merveilleux et passionnant voyage, même s’il ne ressemblait pas aux croisières classiques, mais cela nous convenait parfaitement.

Comme je l’ai déjà dit, Miami est le point de départ de nombreuses croisières plus « classiques », plus touristiques, notamment avec la NCL (Norwegian Cruise Lines) ou d'autres organisateurs de croisière comme "Royal Caribean" ou "Grandeur of the Seas"

 

Un dernier conseil : avant d’aller aux Etats Unis, n’oubliez pas votre document « ESTA », et souvenez-vous que la police américaine n’a aucun humour !!

Bons voyages

Jacques

27/02/2013

 


27/02/2013
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Notre voyage en Floride (2013)

Notre voyage en Floride

Nous rentrons, mon épouse et moi, d’un beau voyage dans la région de Miami, en Floride.  Je passe tous les détails du voyage lui-même, très fatiguant, suite au manque de sommeil et aux 6 heures de décalage horaire.

 

La ville de Miami, dont je parle par ailleurs, comporte une partie moderne avec des immeubles tours particulièrement hauts.  A côté de ces tours, il y a des maisons simple rez-de-chaussée et des quartiers franchement misérables, notamment dans « Little Cuba », là où se sont réfugiés plusieurs milliers de cubains à l’arrivée de Fidel Castro à Cuba.  Dans ces quartiers, les lignes électriques sont aériennes.

 

C’est une ville assez fleurie, établie sur l’eau, sur des îles et de longues bandes de terre parallèles à la côte, comme à Miami - Beach.  Ces îles sont reliées par de grands viaducs – autoroutes.

 

Miami comporte également un grand port, bien connu comme point de départ de navires de croisières.  C’est sur les îles le long du port que se trouvent les villas des multimillionnaires américains.

 

Le temps est relativement chaud, même en hiver.   Nous nous sommes promenés fin janvier en T-shirt et pieds nus le long de la plage.  Il y avait entre 20 et 25°C.  Le temps était, en moyenne beau, mais nous n'avons eu aucun jour complet de ciel bleu.

La végétation est subtropicale : des plantes et des fleurs auxquelles nous ne sommes pas habitués : des cocotiers, des palmiers, des philodendrons, des bougainvilliers, des bananiers, et j'en passe.

Les oiseaux marins sont très semblables aux nôtres.  Parmi les autres oiseaux, il y a des Flamants roses, des Ibis blancs, des Pélicans bruns et des Quiscales des marais, qu’on ne rencontre en principe pas chez nous.

En dehors de la ville, en particulier dans les Everglades, on peut rencontrer des varans et des alligators et des tortues de Floride.  Nous étions là en hiver, ce qui nous a « privés » de la présence des moustiques et autres insectes piqueurs qui pullulent en été.

Ce qui est frappant en Floride, et probablement ailleurs dans les régions chaudes des Etats Unis, c’est l’usage immodéré des conditionnements d’air.  Dès qu’on entre dans un immeuble ou à bord d’une voiture, on est littéralement assaillis par un souffle d’air qui nous semble glacial.  Sans compter la dépense d’énergie et l’émission de CO2 que cela implique.  Les véhicules sont en général plus gros qu’en Europe et ils consomment globalement plus que chez nous, surtout avec le conditionnement d’air.  Il me semble que les américains sont peu attentifs aux problèmes de changements climatiques consécutifs à la combustion de produits pétroliers.

Une habitude américaine, c’est de calculer les prix bruts, sans taxe ni pourboires.  Un objet de 15$ finit par vous coûter 16$50.  Pour les taxis, comme dans les hôtels, il faut donner un pourboire.  Nous n’en avons vraiment pas l’habitude.

Ceci dit, le voyage à Miami en vaut vraiment la peine, surtout s’il est, comme pour nous, agrémenté d’une croisière.  Je vous parlerai de cette croisière dans un prochain article.

A bientôt

Jacques

24/02/2013

 


24/02/2013
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Cozumel et Tulum (Mexique) 2013

Cozumel et Tulum (Mexique)

L'île mexicaine  de Cozumel se trouve à environ 20 km du continent (presqu’île du Yucatan, au Mexique).

Elle s'étend sur environ 480km2 .  En dehors de la ville de San Miguel de» Cozumel,  l’île est recouvert d’une végétation dense.

On pense que les Mayas se sont installés à Cozumel à partir du début du premier millénaire après Jésus-Christ.  Pour les Mayas, Cozumel était l'île sacrée de Ix-Chel, la déesse de la lune.  Les Mayas, et plus particulièrement les femmes qui désiraient avoir des enfants, s'y rendaient en pèlerinage et visitaient les temples de Cozumel.  Les Espagnols y débarquèrent en 1518.

Cozumel est une escale pour de nombreuses croisières dans les Caraïbes.

 

Depuis Cozumel, on peut prendre un petit bateau vers Playa del Carmen, sur la côte mexicaine et, de là, visiter les ruines de Tulum, à 60 km à l’ouest.

La cité côtière de Tulum était une forteresse de commerçants.  La fondation de la cité semble remonter à 564 comme l’indique certaines inscriptions.  Il semble que Tulum aurait eu un rôle majeur au 13ième siècle.   Il fut un centre religieux important jusqu'à la conquête espagnole. Au 16ième siècle.

On y découvre, répartis dans la végétation subtropicale, les ruines d'une série de temples, dont certains comportent des fresques et des inscriptions.

C'est dans des fresques semblables à celles de Tulum qu'on a retrouvé des calendriers Mayas, dont celui qui a tant fait parler de lui en 2012,en prédisant la fin d'UN monde (et non pas la fin DU monde !)

Il y a également un observatoire astronomique.  Il semble que les Mayas étaient de fins observateurs du ciel.

L’ensemble est entouré d’une muraille épaisse percée de portes, dont une partie subsiste encore de nos jours.

La visite des ruines de Tulum est intéressante, surtout pour ceux qui s’intéressent aux peuples anciens de l’Amérique centrale et du Sud, comme les Mayas, les Incas.

 

Comme je l’ai déjà dit, Miami est le point de départ de nombreuses croisières plus « classiques », plus touristiques, notamment avec la NCL (Norwegian Cruise Lines), ou d'autres organisateurs de croisière comme "Royal Caribean" ou "Grandeur of the Seas"

 

 

Jacques

14/02/2013


14/02/2013
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Le Parc National des Everglades 2013

Le Parc national des Everglades

 

Le parc des Everglades couvre une zone de 611 000 hectares, au sud-ouest de la Floride.  Son altitude se situe entre 2 et 6m.

La Floride constituait autrefois une partie de la portion africaine du supercontinent Gondwana il y a 600 millions d’années.  Il n’y a qu'environ 100 000 ans, après la fin de la dernière glaciation, que les Everglades sont redevenues des terres émergées.

Suite à l'expension urbaine, on y a creusé des canaux de drainage, dans lesquels se réfugient bon nombre d’animaux, des Alligators, des Tortues de Floride, et des oiseaux comme les Ibis blancs et les Grandes Aigrettes

La haute saison touristique se situe entre décembre et mars, lorsque les températures sont basses et les moustiques moins actifs.  On y circule à bord d’hydroglisseurs munis, à l’arrière, d’une grande hélice de propulsion.  On peut également y circuler à pieds, avec un guide local.

 

Menaces pour l'écologie et pour le parc

Moins de 50 % de ce qui existait des Everglades avant le drainage de l'eau est resté intact aujourd'hui.  Les populations des échassiers ont diminué de 90 %. Le détournement de l'eau pour les zones habitées en pleine croissance du sud de la Floride est la plus grande menace pour le parc national des Everglades.

Dans les années 1950 et 1960, 2 300 km de canaux et digues, 150 écluses et déversoirs, et 16 stations de pompage furent bâties pour détourner l'eau des Everglades vers les zones urbaines. Les faibles niveaux d'eau rendirent les poissons vulnérables aux reptiles et aux oiseaux, dont beaucoup d’espèces disparurent.  D’autres espèces sont menacées par l’expansion urbaine.

« L'empiètement des résidences et du développement commercial a précipité la chute libre de précieux écosystèmes, et si l'humanité ne fait pas marche arrière, il ne restera plus rien de ces plus incroyables trésors. » (Hope Hamashige dans National Geographic).

Le Parc des Everglades est en danger suite à la future montée du niveau de la mer, due au réchauffement climatique.  Une autre menace grandissante ces dernières années est l'introduction d'espèces étrangères dans les écosystèmes.

La visite touristique du parc des Everglades vaut certainement le déplacement.   Au point de rendez-vous des hydroglisseurs, on peut même déguster du steak d’Alligator !

 

jacques

14/02/2013


14/02/2013
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Miami (Floride), le site de Jungle Island 2013

Jungle Island à Miami (Floride)

 

Le "Jungle Island" est un parc animalier sis à Miami, près des installations portuaires, un vrai Jardin d’Eden, relativement calme au milieu de la jungle urbaine.

 

Ce parc est créé en décembre 1936 par Franz Scherr, sous le nom de « Parrots Island » (l’Ile aux Perroquets).  Ses premiers locataires étaient des Aras bleus et or.  Le lac aux Flamants a été créé en 1947.  En 1955, on construit le bâtiment d’entrée, le restaurant et les bureaux.  En 1982, nait le premier Ara bleu en captivité.  Il est  l’origine d’une longue lignée à travers le monde.  Un certain nombre de films, comme « Miami-Vice », sont tournés dans le parc aux Flamants.

 

En 1985, le parc et ses perroquets sont rachetés par le Dr Bern, Mary Levine and Richard Schubot.  En 1988, le nom est changé en "Parrot Jungle and Gardens".  En 1989, apparaissent les premiers primates.  En 2000, le parc est déménagé en son emplacement actuel, le Watson Island, une île de 7 hectares sise près du port.

 

De 2003 à 2011, un certain nombre d’animaux viennent s’installer à  ce qu’on appelle alors le « Jungle Island ».  A l’heure actuelle, outre les Aras et les Flamants il y a des Ibis blancs, des singes, des lémuriens, des reptiles, des sauriens (dont des Alligators), des fauves (dont un lion et deux tigres blancs).

Durant la même période, on aménage le sol en y apportant une terre naturellement riche, sans pesticides ni engrais chimiques.  La diversité de la végétation assure leur propre croissance.  Il en résulte une végétation luxuriante, comportant des buissons et arbustes, des palmiers, des « arbres à saucisse » et un Figuier Banian.  On se croirait en pleine jungle.

 

Si vous passez par Miami, n’hésitez pas à visiter le Jungle Island : cela en vaut la peine.

Vous y verrez les Flamants et les Ibis en liberté dans leur parc.  Les aras sont sur des supports ou dans des cages avec une paroi vitrée.  Les 2 tigres et le lion blanc sont dans un immense enclos avec une paroi vitrée.  Les autres animaux sont dans des cages, parfois exigües, ou dans des enclos grillagés.  La grosse différence par rapport à d'autre zoos est l'abondance de la végétation.  Une partie du parc est même réservée à la végétation des "Everglades".

 

Jacques

12/02/203

 

(Traduit et interprété du site de Jungle Island, Miami.)

 

 


10/02/2013
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